Publié par admin
PRÉPUBLICATION : « James Healer #1″
24 juin 2006 | adminJames Healer #1 : Camden Rock, par De Vita et Swolfs (47-48-49).
Et voir les planches 1, 2, 3 et 4 (© Le Lombard)
PRÉPUBLICATION : « Du Grunge en génétique #1″
24 juin 2006 | adminDu Grunge en génétique #1 par Zalozabal et Bayeto/Zalozabal (48-49-50).
Et voir les planches 1, 2, 3 et 4 (© Erko)
PRÉPUBLICATION : « Blackjack #3″
24 juin 2006 | adminBlackjack #3 : L’As de cœur, de Cuzor (#49-50-51-52).
Et voir les planches 1, 2, 3 et 4 (© Casterman)
PRÉPUBLICATION : » Gipsy #6 «
24 juin 2006 | admin 1Gipsy #6 : Le Rire aztèque, par Marini et Smolderen (#50-51-52).
Et voir les planches 1, 2, 3 et 4 (© Dargaud)
EXPO du 24 juin au 22 JUILLET 2006
24 juin 2006 | adminExpo Pellerin jusqu’au 22 juillet 2006 à la galerie Raspoutine à Lausanne (Suisse). Vernissage et dédicace le samedi 24 juin à 14h00. Portfolio édité à 110 ex. par la galerie. 00 41 21 311 47 71 et http://www.raspoutine.ch
LES + DU BLOG : LA CASTAFIORE 2/5
23 juin 2006 | adminAu début du XVIIIe siècle, la mode du chant napolitain déferle sur Venise, capitale européenne de l’opéra. Exaspérés par les acrobaties vocales auxquelles se livrent les castrats au détriment de l’émotion, les amateurs avertis comparent ces castrats à des rossignols. Cela en référence à l’un des airs fétiches de Farinelli : « Quell’usignuolo ch’é innamorato ».
Que la Castafiore ait été affublée de ce surnom masculin n’a pas laissé de nous intriguer. Premier indice ! Et si cette femme n’était pas tout à fait celle qu’on croit ?
Le Rossignol milanais est en fait napolitain. Il y a quelques années, à l’occasion de la rédaction d’un ouvrage consacré à Tintin (Tintinolâtrie, Éditions Casterman, 1987), nous avions exécuté des recherches à la Scala de Milan. Quelle ne fut pas notre surprise d’apprendre dans une lettre signée de la main même du directeur de la Scala, que la cantatrice n’avait jamais chanté sur la scène de l’opéra supposé être son fief !
C’est pour brouiller la piste napolitaine que la Castafiore, l’étrange napolitaine, a fait croire à des origines milanaises. Aurait-elle cité Naples que cela aurait risqué d’éveiller les soupçons des connaisseurs.
[…]
Les + du blog « JULES : LA QUESTION DU PERE »
22 juin 2006 | adminUne Épatante Aventure de Jules #5 : La Question du père d’Émile Bravo. © Dargaud. BRAVO, DES DEUX MAINS !
Être amoureux, c’est bien. De là à livrer son petit corps à l’Inquisition dans l’espoir que leur supplice d’étirement à … Lire la suite
CESTAC
22 juin 2006 | adminCESTAC TOC-TOC Truc de ouf ! Cestac kiffe les ados et dessine leur life façon « trop relou d’être un ado ». Elle épingle les blems méga-graves des djeuns : trop pas possible d’écouter de la zique qui déchire … Lire la suite
LES + DU BLOG : LA CASTAFIORE 1/5
21 juin 2006 | adminAlbert Algoud a deux amours, l’humour et Tintin. Son premier amour l’a conduit sous les projecteurs de Nulle Part Ailleurs, la célèbre émission de Canal +. On l’a ainsi souvent admiré en légionnaire amoureux dans les sketches de Karl Zéro et plus récemment dans le défunt Vrai faux journal du même Zéro.
Son second amour l’a poussé à publier nombre de livres passant l’univers d’Hergé à la loupe. Tintinolâtrie (1987), Le Haddock illustré, dictionnaire des insultes du capitaine (1991), Le Tournesol illustré (1993) paraissent chez Casterman dans la très officielle Bibliothèque Moulinsart.
Mais comme tous les passionnés, Algoud aime mélanger ses amours. Son humour est-il trop grinçant ?
Le Dupondt sans peine n’a pas, en 1997, la bénédiction des gardiens du temple et sort chez Canal+ éditions. Dommage collatéral, Algoud doit se passer de toute illustration signée Hergé.
Pas d’images Tintin, évidemment, dans La Castafiore, biographie non autorisée, son nouvel apport à l’univers du petit reporter. Algoud nous entraîne derrière le miroir découvrir la vérité sur les bijoux de la Castafiore. Et c’est pas triste…
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