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Pourquoi tant de haine ? Quand on aime pas la bd, on ne fait pas critique de bd !! Rien de constructif dans cet article. La Baguette magique ou plutôt la plume magique dans votre cas, ne vous a pas été donnée par votre marraine penchée sur votre berceau. Changez de métier ! Ne passez pas vos nerfs ou votre frustration de journaliste ratée sur le travail d’une année de la vie d’un auteur alors qu’il vous a fallu 10 mn pour déverser votre venin. Si vous n’avez rien compris c’est sans doute que finalement vous ne savez pas lire et j’en suis triste pour vous.
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Pourquoi tant de haine ? Quand on aime pas la bd, on ne fait pas critique de bd !! Rien de constructif dans cet article. La Baguette magique ou plutôt la plume magique dans votre cas, ne vous a pas été donnée par votre marraine penchée sur votre berceau. Changez de métier ! Ne passez pas vos nerfs ou votre frustration de journaliste ratée sur le travail d’une année de la vie d’un auteur alors qu’il vous a fallu 10 mn pour déverser votre venin. Si vous n’avez rien compris c’est sans doute que finalement vous ne savez pas lire et j’en suis triste pour vous.
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Selon moi, il est plus agréable de lire une analyse critique qui donne envie de lire un album plutôt qu’une suite de méchancetés gratuites. Sinon, je lirai Voici ou Oops plutot que Bodoï !!! Si on a détesté un livre, autant ne pas en parler du tout (sinon cela lui fait de la pub malgré tout !!) , et laisser la place libre pour un autre livre. Un mauvais album ne porte préjudice à personne, il n’y a donc pas nécessité d’avertir les lecteurs qu’ils sont en danger s’ils l’ouvrent.
L’art est difficile et la critique est aisée comme on dit.
Pour ma part, j’ai trouvé cet album très réussi. Les dialogues sont pleins d’humour , le graphisme est vivant et maitrisé, les couleurs vives ajoutent une touche de modernité à ce mythe ancien, loin des productions monochromes et fades de ces derniers temps.
Je le conseille à ceux qui veulent passer un bon moment sans se prendre trop au sérieux. -
Selon moi, il est plus agréable de lire une analyse critique qui donne envie de lire un album plutôt qu’une suite de méchancetés gratuites. Sinon, je lirai Voici ou Oops plutot que Bodoï !!! Si on a détesté un livre, autant ne pas en parler du tout (sinon cela lui fait de la pub malgré tout !!) , et laisser la place libre pour un autre livre. Un mauvais album ne porte préjudice à personne, il n’y a donc pas nécessité d’avertir les lecteurs qu’ils sont en danger s’ils l’ouvrent.
L’art est difficile et la critique est aisée comme on dit.
Pour ma part, j’ai trouvé cet album très réussi. Les dialogues sont pleins d’humour , le graphisme est vivant et maitrisé, les couleurs vives ajoutent une touche de modernité à ce mythe ancien, loin des productions monochromes et fades de ces derniers temps.
Je le conseille à ceux qui veulent passer un bon moment sans se prendre trop au sérieux. -
Chère (ou cher ?) Bea, le cinéaste Patrice Leconte dit la même chose que vous lorsqu’il affirme qu’un film est « un objet gentil » et s’élève contre les critiques se permettant d’en dire du mal. Toutefois, un lecteur ou un spectateur doit-il être privé de l’opinion de tel ou tel journaliste – ou personne tout simplement, les avis étant désormais partagés facilement sur les forums en ligne – qui n’a pas aimé ? Le préjudice n’existe-t-il finalement pas pour son portefeuille ? Enfin, les efforts d’un artiste et les mois passés sur son oeuvre justifient-ils une adhésion obligatoire au résultat ?
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Chère (ou cher ?) Bea, le cinéaste Patrice Leconte dit la même chose que vous lorsqu’il affirme qu’un film est « un objet gentil » et s’élève contre les critiques se permettant d’en dire du mal. Toutefois, un lecteur ou un spectateur doit-il être privé de l’opinion de tel ou tel journaliste – ou personne tout simplement, les avis étant désormais partagés facilement sur les forums en ligne – qui n’a pas aimé ? Le préjudice n’existe-t-il finalement pas pour son portefeuille ? Enfin, les efforts d’un artiste et les mois passés sur son oeuvre justifient-ils une adhésion obligatoire au résultat ?
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Ca se la raconte sévère les critiques dites donc.
Soit on encense soit on détruit ? C’est ce que nous devons retenir …
Je ne trouve pas cela constructif du tout.
Ne pas « adhérer » ne veux pas dire qu’il faille absolument épingler des adjectifs calamiteux sur un travail qui ne le mérite certainement pas.
Cette bd peut tout à fait trouver son public.
Et lorsqu elle l’aura les critiques acerbes ravaleront leur venin pour encenser ce qu’elles avaient auparavant détruit en quelques lignes … Comme toujours. -
Ca se la raconte sévère les critiques dites donc.
Soit on encense soit on détruit ? C’est ce que nous devons retenir …
Je ne trouve pas cela constructif du tout.
Ne pas « adhérer » ne veux pas dire qu’il faille absolument épingler des adjectifs calamiteux sur un travail qui ne le mérite certainement pas.
Cette bd peut tout à fait trouver son public.
Et lorsqu elle l’aura les critiques acerbes ravaleront leur venin pour encenser ce qu’elles avaient auparavant détruit en quelques lignes … Comme toujours. -
Bien répondu, Madame Le Saux! En effet, il ne faut pas confondre journalisme et enthousiasme béat, les attachées de presse, les pubs et la catalogues des éditeurs sont faits pour celà. Pour ma part, quand je suis déçu au cinéma trois fois de suite en suivant les conseils de tel journal spécialisé, j’arrete d’acheter le dit journal, car je ne lui fais plus confiance!
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Bien répondu, Madame Le Saux! En effet, il ne faut pas confondre journalisme et enthousiasme béat, les attachées de presse, les pubs et la catalogues des éditeurs sont faits pour celà. Pour ma part, quand je suis déçu au cinéma trois fois de suite en suivant les conseils de tel journal spécialisé, j’arrete d’acheter le dit journal, car je ne lui fais plus confiance!
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Ayant, il y a quelques années de cela, travaillé pour un journal BD (Ekllipse le défunt), j’ai toujours refusé de flinguer des albums que je trouvais mauvais.
Je préférais essayer d’aider en épaulant du mieux que je pouvais écrire, les albums qui m’avaient touché.
il y avait déjà à l’époque suffisamment de sorties en librairie pour ne pas me perdre dans la facilité en tirant sur les ambulances.
Mais c’est vrai qu’il est toujours plus facile d’achever un blessé (Même un incapable fini toujours pas toucher une cible qui ne bouge pas) que de tenter de sauver celui qui peut l’être. -
Ayant, il y a quelques années de cela, travaillé pour un journal BD (Ekllipse le défunt), j’ai toujours refusé de flinguer des albums que je trouvais mauvais.
Je préférais essayer d’aider en épaulant du mieux que je pouvais écrire, les albums qui m’avaient touché.
il y avait déjà à l’époque suffisamment de sorties en librairie pour ne pas me perdre dans la facilité en tirant sur les ambulances.
Mais c’est vrai qu’il est toujours plus facile d’achever un blessé (Même un incapable fini toujours pas toucher une cible qui ne bouge pas) que de tenter de sauver celui qui peut l’être. -
Merci de parler des blessés et des ambulances. C’est vrai que sur 5000 nouveautés par an, il y en a combien qui méritent le détour, 10 ou 20% ? Il y a trop de livres, les libraires ne savent plus où les mettre. Dans ce bourbier général se retrouvent noyés des albums de bon niveau, qui passent inaperçus. Il est impératif de réduire le nombre de sorties. A l’éditeur de faire son travail en étant sélectif et exigeant, voire en conseillant l’auteur (mais j’ai bien peur que peu d’éditeurs soient capables de donner des leçons de dessin).
Un album inintéressant (voire médiocre) sort. Il se vend peu. La série ne sera même pas prolongée. Le libraire a perdu son temps en commandant le livre sur l’enthousiasme du VRP; en déballant le paquet, mettant des étiquettes (surtout avec la TVA livre qui valse ces temps ci!) en remballant le tout (retours facturés mes bons amis). Le client achète et regrette son achat. Dommage, il a joué le mauvais cheval. L’editeur n’a pas gagné sur ce titre, ça va encore s’il fait des traductions juteuses de mangas ou de comics à coté. L’auteur a passé six mois ou un an sur ce projet qui lui tient à coeur, il ne gagne pas beaucoup de sous et se dit qu’il aurait mieux fait de travailler chez Carrefour ou Auchan.
Donc je remercie les journalistes qui mettent en garde le public! Ce n’est pas dans Casemate ou DBD que l’on voit des commentaires négatifs, ils aiment tout, ces bisounours!! -
Merci de parler des blessés et des ambulances. C’est vrai que sur 5000 nouveautés par an, il y en a combien qui méritent le détour, 10 ou 20% ? Il y a trop de livres, les libraires ne savent plus où les mettre. Dans ce bourbier général se retrouvent noyés des albums de bon niveau, qui passent inaperçus. Il est impératif de réduire le nombre de sorties. A l’éditeur de faire son travail en étant sélectif et exigeant, voire en conseillant l’auteur (mais j’ai bien peur que peu d’éditeurs soient capables de donner des leçons de dessin).
Un album inintéressant (voire médiocre) sort. Il se vend peu. La série ne sera même pas prolongée. Le libraire a perdu son temps en commandant le livre sur l’enthousiasme du VRP; en déballant le paquet, mettant des étiquettes (surtout avec la TVA livre qui valse ces temps ci!) en remballant le tout (retours facturés mes bons amis). Le client achète et regrette son achat. Dommage, il a joué le mauvais cheval. L’editeur n’a pas gagné sur ce titre, ça va encore s’il fait des traductions juteuses de mangas ou de comics à coté. L’auteur a passé six mois ou un an sur ce projet qui lui tient à coeur, il ne gagne pas beaucoup de sous et se dit qu’il aurait mieux fait de travailler chez Carrefour ou Auchan.
Donc je remercie les journalistes qui mettent en garde le public! Ce n’est pas dans Casemate ou DBD que l’on voit des commentaires négatifs, ils aiment tout, ces bisounours!! -
Yep.
François, au vu du nombre minuscule de chroniqueurs dans le monde des journaux bd (gigantesques), cherchons la perle rare au lieu de tuer la masse moyenne mise en avant par les éditeurs.
C’est moins facile mais plus positif pour les lecteurs.
« Bonjours, j’aimerais une bd…
Eh bien oubliez celle là… et puis celle là, sans oublier cette merde et ce crotin… ET…
Ok merci. Je vais m’acheter des oeufs frais.
‘Au moins les crêpes ne me déçoivent jamais. »
Bye et bon tout. -
Yep.
François, au vu du nombre minuscule de chroniqueurs dans le monde des journaux bd (gigantesques), cherchons la perle rare au lieu de tuer la masse moyenne mise en avant par les éditeurs.
C’est moins facile mais plus positif pour les lecteurs.
« Bonjours, j’aimerais une bd…
Eh bien oubliez celle là… et puis celle là, sans oublier cette merde et ce crotin… ET…
Ok merci. Je vais m’acheter des oeufs frais.
‘Au moins les crêpes ne me déçoivent jamais. »
Bye et bon tout.
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