Les + du blog : MŒBIUS

Qu’à fait Senso Le bimestriel Senso fait souvent illustrer ses articles par des auteurs de bande dessinée comme Götting ou Walter Minus. Sans oublier des couvertures signées Loustal ou Manara. Dans le cadre d’un numéro consacré au cinéma, le magazine … Lire la suite

Les + du blog : LARCENET

Exquise esquisse

Pros, amateurs, dilettantes… Manu Larcenet vous lance un défi : dessiner la planche suivante de son histoire. Si le résultat de cette espèce de cadavre exquis est jugé satisfaisant, un album pourrait être édité aux Rêveurs de … Lire la suite

LE NOUVEAU BODOÏ !

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« PIMPF MAG »

SÉRIES TÉLÉ, FEUILLETONS BD Si aujourd’hui les héros de BD se retrouvent sur le grand écran avec plus ou moins de bonheur, pendant longtemps les séries télé ont donné naissance à des clones de papier en tous genres, manière … Lire la suite

« ANGELINE »

LA NOUVELLE TOUCHE FÉMININE Adeline Blondieau, aux fourneaux d’Angeline avec Éric Summer, continue à verser de l’huile sur le feu. Un mari volage assassiné à coups de bâtons de ski par une jolie rousse, un autre qui flingue son ex … Lire la suite

Les + du blog : POUPON

L’AGITATION DU BOCAL Annoncé dans notre calendrier des parutions pour mars dernier, le cinquième tome du Fond du bocal par Nicolas Poupon n’est toujours pas dans vos bacs. Poupon précise : « Le Cycliste imprime ses bouquins en Slovénie. … Lire la suite

Les + du blog : SPECIAL AVIATION 3/5

UNE ESCADRILLE DE CHOC
Romain Hugault, Félix Molinari, mais aussi Jean Barbaud (Pur zing), Francis Bergèse (Buck Danny), Albert Weinberg (Dan Cooper), Manuel Perales (Normandie-Niemen) , Renaud Garreta (Fox One, Tanguy et Laverdure), Christophe Gibelin (Les Ailes de plomb), Francis Nicole (Missions Kimono), Eric Loutte (Biggles) et Fraco (Dogs fight) ont participé à la réalisation d’un portfolio spécial aviation.

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Les + du blog : « LE BAL DES CHIMERES »

PANTALONS ROUGES ET IDÉES NOIRES
« Cienzé oust, ista a poust ». « Après le 15 août, l’été est fini » dit un vieux proverbe en gavot, patois oublié des hautes Alpes. Un pays où il peut neiger dès septembre et où les moins vingt degrés sont monnaie courante. C’est dans ce paradis pour sergent instructeur sadique, à deux pas du col d’Izoard, que cantonnaient et crapahutaient les régiments de chasseurs alpins au tout début du vingtième siècle. C’était l’époque des premiers cours de skis dispensés par des officiers norvégiens. Les hommes apprenaient à stopper leurs folles descentes en pratiquant « l’arrêt briançonnais ». Cette brillante technique consistait à se laisser tomber sur le côté. Radical.
C’était l’époque où les militaires portaient encore les pantalons rouges, pour qu’on les voie de loin.C’était avant la première grande guerre au cours de laquelle les mêmes pantalons les désigneront aux snippers allemands qui feront une hécatombe. C’était l’époque d’avant le kaki uniforme, avec ses officiers à la ceinture bien serrée et les moustaches au vent. L’époque où les femmes, épouses d’officiers ou pensionnaires du claque local, portaient corsets et guêpières, censées donner à toutes une taille de guêpe.
C’est dans ce milieu confiné qu’arrivent au fort Montdauphin, un beau jour d’août 1900, le capitaine de Saint Géraud et sa femme, Anaïs, superbe plante brune. La belle, malgré sa réserve, va déchaîner les passions de tout ce qui porte pantalon, rouge ou non, et permettre aux jeunes coqs de se livrer au sport local : séduire les nouvelles venues. Problème, si tous les hommes tombent raides dingues

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« MIKROMIX »

ELLE EST PAS BELLE MON AFFICHE ? Qu’est-ce qu’on a pour un euro ? La nouvelle formule de Mikromix. On y trouve des BD sensuelles, de la SF, une jolie histoire commençant dans un cimetière, l’adieu à un ami. … Lire la suite

RIBERA

LE CHANT DE L’IMMIGRÉ
Tous les Espagnols n’ont pas attendu la mort du Caudillo pour tenter de changer de vie. En 1954, Julio Ribera et sa femme atterrissent à Orly. Elle écrit, lui dessine. Une fois passée la découverte de la liberté – on peut voir des tas de films et siffler le Président sans que déboule la garde civile -, l’existence ne sera pas rose tous les jours. Le logement à Paris étant hors de prix (déjà), il faut s’exiler en lointaine banlieue. Sans sécurité sociale, les dessinateurs voient leurs économies fondre à la moindre hospitalisation.

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