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Daphnée et Iris ***

30 mars 2009 |

daphne_et_iris_couv.jpgbien.jpgPar Glen Chapron, Véronique Grisseaux et Géraldine Ranouil. Casterman/KSTR, 16 €, le 11 mars 2009.

C’est l’histoire de deux copines, Daphnée et Iris, qui auraient tout aussi bien pu s’appeler Clara Sheller tant leurs ressemblances avec l’héroïne trentenaire de la série télé éponyme sont grandes : belles, intelligentes, un peu égocentriques… Elles sont, évidemment, à la recherche du grand amour et confrontées à un terrible dilemme: épouser le très-comme-il-faut Tancrède ou le beau-comme-un-dieu Arsène ?daphnee_et_iris_image.jpg

Les deux scénaristes, Géraldine Ranouil et Véronique Grisseaux (Lucie s’en soucie), décrivent avec tendresse les préoccupations futiles de ces jeunes femmes CSP+ qu’elles semblent bien connaître. Autant, d’ailleurs, que les milieux branchés des agences de communication et de l’édition, gentiment taclés entre deux coupes de champagne.

Le découpage du livre en épisodes – là encore, un clin d’oeil aux séries télé -, introduits par des affiches rétro (le dentifrice Golcrate contre la mauvaise haleine) ou des recettes de cocktail, fonctionne à merveille et instille un rythme léger tout à fait à propos. C’est amusant, rafraîchissant, joliment coloré dans des tons roses et gris très doux, et parfaitement servi par le trait séduisant du dessinateur-blogueur Glen Chapron, qui réalise ici un charmant premier album.

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Commentaires

  1. Fabou

    Quelle déception !

    Attiré par la couverture et le dessin époustouflant, je pensais me lancer dans une histoire légère, certes, mais rythmée et intéressante, dans l’esprit d’une Lucie Durbiano ou d’un(e?) Colonel Moutarde.

    En lieu de ça, une recherche du prince charmant ridiculement stéréotypée pour des personnages franchement antipathiques. Dommage.

  2. Fabou

    Quelle déception !

    Attiré par la couverture et le dessin époustouflant, je pensais me lancer dans une histoire légère, certes, mais rythmée et intéressante, dans l’esprit d’une Lucie Durbiano ou d’un(e?) Colonel Moutarde.

    En lieu de ça, une recherche du prince charmant ridiculement stéréotypée pour des personnages franchement antipathiques. Dommage.

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