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BoDoï, explorateur de bandes dessinées – Infos BD, comics, mangas | December 22, 2024















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22 Comments

Des BD inédites d'auteurs confirmés, lisibles gratuitement en ligne

21 décembre 2010 |

Comment, lorsqu’on est auteur de bandes dessinées, se positionner face à Internet et à la BD numérique? Faut-il la craindre, laisser son éditeur tout gérer, ou alors prendre ce nouveau médium à bras-le-corps et tenter des choses?

Dossier de Presse-8comixComme Thomas Cadène avant eux (Les Autres Gens), plusieurs artistes (Fabien Vehlmann, Cyril Pedrosa, Alfred, Olivier et Jérôme Jouvray, David Chauvel, Jason, Gess, Efix, Frédérik et Greg Salsedo, Tim Mc Burnie) se sont associés et ont décidé de plonger dans ce nouveau bain.

Le 17 janvier 2011, ils mettront en ligne le site 8comix (dont l’habillement graphique est réalisé par les Kerascoët, voir ci-contre), sur lequel ils proposeront gratuitement leurs nouvelles créations.

« Il s’agit d’une structure très souple, précise le scénariste Fabien Vehlmann (Seuls, Spirou, Jolies Ténèbres…), l’un des moteurs du projet. Nous n’y avons pas investi d’argent, mais du temps. Nous souhaitons y publier tous types de bandes dessinées de niveau professionnel. »

A la base de 8comix, la volonté de s’engager dans une voie nouvelle. « Les éditeurs proposent actuellement des contrats numériques très insatisfaisants, poursuit Fabien Vehlmann. Ils souhaitent baisser de façon injustifiée les droits d’auteur, ce qui précarise la profession. Plutôt que de rester passifs, il nous paraît plus constructif d’essayer quelque chose par nous-mêmes. Choisir la gratuité peut paraître schizophrène quand on se bat par ailleurs pour les droits des artistes [NDLR: Fabien Vehlmann fait partie du Groupement des auteurs de bande dessinée], mais il faut rester ouvert à tout, car personne ne sait quel modèle l’emportera dans le futur. »

8_comix_ile_mortsAux auteurs participants, 8comix propose différentes formules: leurs créations peuvent être exclusivement réalisées pour le site, destinées à être éditées par la suite sous d’autres formes, ou encore constituer des prépublications d’ouvrages papier. Elles seront publiées dans leur intégralité (à quelques exceptions près) et gratuitement sur le site, où elles resteront dans la plupart des cas sans limitation de temps.

Au menu, une dizaine d’histoires, dont L’Ile aux 100 000 morts de Fabien Vehlmann et Jason (voir ci-contre), une aventure humoristique de 54 pages que Glénat publiera ensuite. Ou encore José de Cyril Pedrosa et Alfred (voir ci-dessous) – les péripéties d’un extraterrestre sur la Terre -, ou bien le futuriste Au royaume des aveugles de Greg & Fred Salsedo et Olivier Jouvray.

Selon Fabien Vehlmann, « le numérique permet aux auteurs de faire l’école buissonnière et de s’émanciper partiellement de la tutelle des éditeurs ». On guettera donc d’un oeil impatient le résultat de cette tentative audacieuse, qui autorise les artistes à tenir les rênes de leur propre mode d’édition.

Dossier de Presse-8comix

Images © Kerascoët/Fabien Vehlmann-Jason/Cyril Pedrosa-Alfred/8comix.

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Commentaires

  1. Franck Marguin

    Bonjour,
    concernant « L’Ile aux Cent Mille Morts » de Fabien Vehlmann et Jason, que j’ai la chance d’éditer dans la collection « 1000 Feuilles » des Editions Glénat, je voulais apporter deux ou trois précisions à votre article.
    – c’est avec l’accord contractuel des Editions Glénat que l’album est lisible gratuitement sur 8comix.
    – l’album ne va pas être publié ensuite. Il est publié simultanément, et même avant d’être lisible dans sa globalité sur le net.
    – enfin, je tiens à préciser que la publication en livre ne découle pas de la publication net; c’est même l’inverse qui se produit : c’est parce qu’un éditeur (de livres) finance le projet « livre » qu’il peut ensuite être lisible gratuitement sur le net. En ce qui concerne cet album en tout cas, il n’y aurait pas de publication internet possible sans édition papier au préalable.

    Je voulais juste que ces détails soient précisés, sinon il va de soi que je me réjouis de cette initiative qui va permettre au plus grand nombre de lire cet album.

  2. Franck Marguin

    Bonjour,
    concernant « L’Ile aux Cent Mille Morts » de Fabien Vehlmann et Jason, que j’ai la chance d’éditer dans la collection « 1000 Feuilles » des Editions Glénat, je voulais apporter deux ou trois précisions à votre article.
    – c’est avec l’accord contractuel des Editions Glénat que l’album est lisible gratuitement sur 8comix.
    – l’album ne va pas être publié ensuite. Il est publié simultanément, et même avant d’être lisible dans sa globalité sur le net.
    – enfin, je tiens à préciser que la publication en livre ne découle pas de la publication net; c’est même l’inverse qui se produit : c’est parce qu’un éditeur (de livres) finance le projet « livre » qu’il peut ensuite être lisible gratuitement sur le net. En ce qui concerne cet album en tout cas, il n’y aurait pas de publication internet possible sans édition papier au préalable.

    Je voulais juste que ces détails soient précisés, sinon il va de soi que je me réjouis de cette initiative qui va permettre au plus grand nombre de lire cet album.

  3. Jouvray Olivier

    Effectivement, et il est important de le préciser, quelques uns des projets font déjà l’objet d’un contrat d’édition et seront diffusés sur 8comix dans une démarche collaborative avec l’éditeur. Dans l’ambiance de négociations difficiles qui règne en ce moment entre le Groupement des auteurs de BD du SNAC (Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs) et le SNE (Syndicat National des Editeurs), il est important aussi de montrer que des collaborations constructives sont possibles.

  4. Jouvray Olivier

    Effectivement, et il est important de le préciser, quelques uns des projets font déjà l’objet d’un contrat d’édition et seront diffusés sur 8comix dans une démarche collaborative avec l’éditeur. Dans l’ambiance de négociations difficiles qui règne en ce moment entre le Groupement des auteurs de BD du SNAC (Syndicat National des Auteurs et des Compositeurs) et le SNE (Syndicat National des Editeurs), il est important aussi de montrer que des collaborations constructives sont possibles.

  5. Francis Pincemoi

    Bien d’accord avec vous Monsieur Marguin!
    Personnellement, je suis plutôt « old school », et pas trop « technophile ». Je me méfie du virtuel comme de la peste, et je suis attaché aux vertus de l’objet-papier, en clair le livre. On a vu récemment des auteurs se créper le chignon au sujet des droits numériques, tout cela pour savoir combien ils allaient gagner quand on lirait leur BD sur son portable, dans le métro, ses wc ou une ile déserte. Foutaises!! Si la BD numérique payante démarre vraiment, ce sera uniquement au bénéfice des grosses pointures, relayées par d’imposantes campagnes de pub; car qui va payer 4 ou 5 euros pour un fichier numérique quand un vrai livre coute deux ou trois plus? Lewis Trondheim a avoué que son Bludzee sur le net avait quelques 5000 lecteurs, alors que le livre se vend bien plus. Thomas Cadene, l’organisateur des Autres gens, a environ 1000 abonnés payants sur le net, donc il est bien content que Dupuis lui finance une édition -papier.
    Donc l’internet cher et payant a pour l’instant prouvé la nullité de son concept economique.
    Mais l’internet gratuit est lui utile. Car là, on donne au lecteur l’occasion de lire gratuitement une histoire. Et s’il l’apprécie, cela va sans doute lui-donner envie d’acheter le livre, sans parler de tous les précedents des auteurs et tous ceux qui suivent!!
    Donc je vous dis bravo et vous prodigue tous mes encouragements!

  6. Francis Pincemoi

    Bien d’accord avec vous Monsieur Marguin!
    Personnellement, je suis plutôt « old school », et pas trop « technophile ». Je me méfie du virtuel comme de la peste, et je suis attaché aux vertus de l’objet-papier, en clair le livre. On a vu récemment des auteurs se créper le chignon au sujet des droits numériques, tout cela pour savoir combien ils allaient gagner quand on lirait leur BD sur son portable, dans le métro, ses wc ou une ile déserte. Foutaises!! Si la BD numérique payante démarre vraiment, ce sera uniquement au bénéfice des grosses pointures, relayées par d’imposantes campagnes de pub; car qui va payer 4 ou 5 euros pour un fichier numérique quand un vrai livre coute deux ou trois plus? Lewis Trondheim a avoué que son Bludzee sur le net avait quelques 5000 lecteurs, alors que le livre se vend bien plus. Thomas Cadene, l’organisateur des Autres gens, a environ 1000 abonnés payants sur le net, donc il est bien content que Dupuis lui finance une édition -papier.
    Donc l’internet cher et payant a pour l’instant prouvé la nullité de son concept economique.
    Mais l’internet gratuit est lui utile. Car là, on donne au lecteur l’occasion de lire gratuitement une histoire. Et s’il l’apprécie, cela va sans doute lui-donner envie d’acheter le livre, sans parler de tous les précedents des auteurs et tous ceux qui suivent!!
    Donc je vous dis bravo et vous prodigue tous mes encouragements!

  7. Bonjour à toutes et tous,
    Je trouve intéressant cette démarche qui encore une fois ouvre un pan des possibilités futur du net. Cela dit j’y voit un gros soucis, c’est que ( contrat papier ou non) on va encore une fois amener une sorte de manque du respect du travail de l’auteur au sens ou c’est un métier et non un travail d’amateur amusé.
    Que ce soit dans la presse non spécialisée, au niveau des éditeur et le net je n’en parle même pas, j’ai cette désagréable sensation une fois de plus qu’on place tout cela comme quelque chose de normal.
    De plus je peux vous assurer que si les lecteurs peuvent lire et en font la démarche sur le net et ce gratuitement, il ne vont pas aller l’acheter. C’est à mon avis très naif de penser cela.
    Regarder avec les films, l’industrie est en chute . Je peut vous dire qu’autour de mois quand on télécharge un film, on ne va pas l’acheter ensuite…
    Bref comme on dit,
    « Work in progress… »,
    Walder

  8. Bonjour à toutes et tous,
    Je trouve intéressant cette démarche qui encore une fois ouvre un pan des possibilités futur du net. Cela dit j’y voit un gros soucis, c’est que ( contrat papier ou non) on va encore une fois amener une sorte de manque du respect du travail de l’auteur au sens ou c’est un métier et non un travail d’amateur amusé.
    Que ce soit dans la presse non spécialisée, au niveau des éditeur et le net je n’en parle même pas, j’ai cette désagréable sensation une fois de plus qu’on place tout cela comme quelque chose de normal.
    De plus je peux vous assurer que si les lecteurs peuvent lire et en font la démarche sur le net et ce gratuitement, il ne vont pas aller l’acheter. C’est à mon avis très naif de penser cela.
    Regarder avec les films, l’industrie est en chute . Je peut vous dire qu’autour de mois quand on télécharge un film, on ne va pas l’acheter ensuite…
    Bref comme on dit,
    « Work in progress… »,
    Walder

  9. Bonjour à toutes et tous,
    Je trouve intéressant cette démarche qui encore une fois ouvre un pan des possibilités futur du net. Cela dit j’y voit un gros soucis, c’est que ( contrat papier ou non) on va encore une fois amener une sorte de manque du respect du travail de l’auteur au sens ou c’est un métier et non un travail d’amateur amusé.
    Que ce soit dans la presse non spécialisée, au niveau des éditeur et le net je n’en parle même pas, j’ai cette désagréable sensation une fois de plus qu’on place tout cela comme quelque chose de normal.
    De plus je peux vous assurer que si les lecteurs peuvent lire et en font la démarche sur le net et ce gratuitement, il ne vont pas aller l’acheter. C’est à mon avis très naif de penser cela.
    Regarder avec les films, l’industrie est en chute . Je peut vous dire qu’autour de mois quand on télécharge un film, on ne va pas l’acheter ensuite…
    Bref comme on dit,
    « Work in progress… »,
    Walder

  10. Bob

    Des bd lisibles gratuitement il y en a plein dans les bibliothèques et médiathèques, on peut même les ramener chez soi pour les lire tranquille au lit le soir, ça n’empêche d’en acheter.

  11. Bob

    Des bd lisibles gratuitement il y en a plein dans les bibliothèques et médiathèques, on peut même les ramener chez soi pour les lire tranquille au lit le soir, ça n’empêche d’en acheter.

  12. Francis Pincemoi

    Vous avez bien raison, cher ami Bob! Moi-même quand j’hésite à acheter un livre (et quand je ne peux pas le lire gratuitement chez le libraire), je l’emprunte en bibli ou media-thèque.
    Ce n’est pas que je sois radin, c’est que je ne peux tout acheter, et de plus mes bibliothèques crient pitié, écrasées par le poids de cinquante ans de collections!! Du lourd, je vous prie de le croire! Mais surtout de la qualité, celle dont sont faites les classiques!!
    Le système est bien rodé: on peut réserver un livre, ou etre informé de sa présence dans une autre bibli ou media-thèque.
    A l’issue de cette lecture gratuite, trois solutions:
    A: ce livre est une daube, j’ai bien eu raison de ne pas l’acheter. D’ailleurs j’ai laissé tomber sa lecture après quinze pages!
    B: je lis tout en entier: un moment sympa et gratuit! Par contre je suis sûr de ne pas avoir envie de le relire dans trois semaines, donc cela me dispense de l’acheter… mais je prendrai les suivants au même endroit! et je jetterai un oeil sur les nouvelles séries de ses auteurs!
    C: le livre m’a enchanté! je ne peux me résoudre à le rendre, j’ai envie de m’y replonger et qu’il agrémente ma splendide collection. Merci de m’avoir donné de l’acheter!
    C’est la méthode que j’utilise depuis cinq ans. Je l’offre en cadeau de Noël à tous les lecteurs débutants de bodoi, je peux leur garantir qu’elle leur permettra de découvrir de vraies « pépites », sans se ruiner. Joyeux Noël à tous et surtout à toutes!!

  13. Francis Pincemoi

    Vous avez bien raison, cher ami Bob! Moi-même quand j’hésite à acheter un livre (et quand je ne peux pas le lire gratuitement chez le libraire), je l’emprunte en bibli ou media-thèque.
    Ce n’est pas que je sois radin, c’est que je ne peux tout acheter, et de plus mes bibliothèques crient pitié, écrasées par le poids de cinquante ans de collections!! Du lourd, je vous prie de le croire! Mais surtout de la qualité, celle dont sont faites les classiques!!
    Le système est bien rodé: on peut réserver un livre, ou etre informé de sa présence dans une autre bibli ou media-thèque.
    A l’issue de cette lecture gratuite, trois solutions:
    A: ce livre est une daube, j’ai bien eu raison de ne pas l’acheter. D’ailleurs j’ai laissé tomber sa lecture après quinze pages!
    B: je lis tout en entier: un moment sympa et gratuit! Par contre je suis sûr de ne pas avoir envie de le relire dans trois semaines, donc cela me dispense de l’acheter… mais je prendrai les suivants au même endroit! et je jetterai un oeil sur les nouvelles séries de ses auteurs!
    C: le livre m’a enchanté! je ne peux me résoudre à le rendre, j’ai envie de m’y replonger et qu’il agrémente ma splendide collection. Merci de m’avoir donné de l’acheter!
    C’est la méthode que j’utilise depuis cinq ans. Je l’offre en cadeau de Noël à tous les lecteurs débutants de bodoi, je peux leur garantir qu’elle leur permettra de découvrir de vraies « pépites », sans se ruiner. Joyeux Noël à tous et surtout à toutes!!

  14. Francis Pincemoi

    Vous avez bien raison, cher ami Bob! Moi-même quand j’hésite à acheter un livre (et quand je ne peux pas le lire gratuitement chez le libraire), je l’emprunte en bibli ou media-thèque.
    Ce n’est pas que je sois radin, c’est que je ne peux tout acheter, et de plus mes bibliothèques crient pitié, écrasées par le poids de cinquante ans de collections!! Du lourd, je vous prie de le croire! Mais surtout de la qualité, celle dont sont faites les classiques!!
    Le système est bien rodé: on peut réserver un livre, ou etre informé de sa présence dans une autre bibli ou media-thèque.
    A l’issue de cette lecture gratuite, trois solutions:
    A: ce livre est une daube, j’ai bien eu raison de ne pas l’acheter. D’ailleurs j’ai laissé tomber sa lecture après quinze pages!
    B: je lis tout en entier: un moment sympa et gratuit! Par contre je suis sûr de ne pas avoir envie de le relire dans trois semaines, donc cela me dispense de l’acheter… mais je prendrai les suivants au même endroit! et je jetterai un oeil sur les nouvelles séries de ses auteurs!
    C: le livre m’a enchanté! je ne peux me résoudre à le rendre, j’ai envie de m’y replonger et qu’il agrémente ma splendide collection. Merci de m’avoir donné de l’acheter!
    C’est la méthode que j’utilise depuis cinq ans. Je l’offre en cadeau de Noël à tous les lecteurs débutants de bodoi, je peux leur garantir qu’elle leur permettra de découvrir de vraies « pépites », sans se ruiner. Joyeux Noël à tous et surtout à toutes!!

  15. tutu

    les bibliothèques ne sont pas gratuites

    les Albums sont achetés avec donc des sous pour les auteurs.

    C’est payé par les abonnements, et les impôts…

    Et ça coute fort cher à l’état, et aux communes, surtout en Bâtiments.

    Mais c’est vrais que c’est bien pratique. Et je viens aussi d’acheter pour noël, des BD découvertes à Bibli.

    Quand on achète directement, à la librairie on se rabat sur des valeurs sures…. alors que grâce à la blibli on peut se permettre de découvrir des choses.

  16. tutu

    les bibliothèques ne sont pas gratuites

    les Albums sont achetés avec donc des sous pour les auteurs.

    C’est payé par les abonnements, et les impôts…

    Et ça coute fort cher à l’état, et aux communes, surtout en Bâtiments.

    Mais c’est vrais que c’est bien pratique. Et je viens aussi d’acheter pour noël, des BD découvertes à Bibli.

    Quand on achète directement, à la librairie on se rabat sur des valeurs sures…. alors que grâce à la blibli on peut se permettre de découvrir des choses.

  17. tutu

    les bibliothèques ne sont pas gratuites

    les Albums sont achetés avec donc des sous pour les auteurs.

    C’est payé par les abonnements, et les impôts…

    Et ça coute fort cher à l’état, et aux communes, surtout en Bâtiments.

    Mais c’est vrais que c’est bien pratique. Et je viens aussi d’acheter pour noël, des BD découvertes à Bibli.

    Quand on achète directement, à la librairie on se rabat sur des valeurs sures…. alors que grâce à la blibli on peut se permettre de découvrir des choses.

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