« Femmes de réconfort »
Une chronique bouleversante de l’occupation japonaise en Corée
Pendant la Seconde Guerre mondiale, alors que le Japon occupait la Corée, les soldats japonais utilisaient des « femmes de réconfort ». Un nom presque poétique, donné à une odieuse réalité, celle des esclaves sexuelles emprisonnées dans les camps de l’armée. Jung Kyung-a raconte les tortures subies de trois points de vue différents : celui d’une Hollandaise née à Java, enfermée dans une maison close et violée à d’innombrables reprises, celui d’un médecin japonais, chargé de la santé des détenues, et celui d’une jeune Coréenne. Malgré un sujet bouleversant, l’auteure réussit, en adoptant un ton résolument dynamique et pédagogique, à ne pas créer d’excès de pathos. (Au Diable Vauvert / 6 Pieds sous Terre, 268 pages, 22 E, le 18 octobre)
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Même lorsqu’on aime le Japon – comme moi -, il faut savoir parler des choses difficiles et c’est ce que j’ai fait aussi dans mon article sur ce très beau manhwa.
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Même lorsqu’on aime le Japon – comme moi -, il faut savoir parler des choses difficiles et c’est ce que j’ai fait aussi dans mon article sur ce très beau manhwa.
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