Feuille de chou #3 – Journal d’un journal ***
Par Mathieu Sapin. Delcourt, 14,95 €, le 21 septembre 2011.
Crayon en main, Mathieu Sapin a suivi la vie de la rédaction du quotidien Libération pendant près de 6 mois cette année. Conférences de rédaction, reportages sur le terrain, choix des sujets ou de la photo de Une, visite des impressionnants locaux (un ancien parking), bouclage tardif, départ de Laurent Joffrin et arrivée de Nicolas Demorand… Il en ressort un carnet de bord touffu et instructif sur la vie d’un journal pas comme les autres.
Fort de son expérience sur le tournage du film Gainsbourg (vie héroïque) de Joann Sfar, Mathieu Sapin applique les mêmes méthodes à sa plongée au coeur de Libé : des instantanés du travail de chacun, avec une bonne dose d’humour (l’auteur se met en scène en éternel maladroit et malchanceux) et un goût pour la bonne phrase. En courts chapitres, il bondit d’un service à l’autre, donne la parole aux agents d’accueil comme au directeur, tente de se mettre dans la peau des reporters, mais garde sa distance d’auteur. L’ensemble est souvent anecdotique, mais efficace et léger, porté par un trait sur le vif qui fonctionne bien. Et il devrait intéresser ceux qui lisent Libération comme ceux qui n’ont pas la moindre idée de comment se fabrique un journal, ce miracle quotidien réalisé par des hommes et des femmes totalement investis dans leur métier-passion.
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toujours aussi bien déssiné (ironie!!), par contre il semble que Sapin ait soigné son lettrage, par rapport à ses précèdents BD-reportages. Ceci dit, je ne me passionne guère pour Libération, ni pour ce qui se passe dans ses locaux. Bon, par générosité, je le prrendrai peut-être à la bibliothèque
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toujours aussi bien déssiné (ironie!!), par contre il semble que Sapin ait soigné son lettrage, par rapport à ses précèdents BD-reportages. Ceci dit, je ne me passionne guère pour Libération, ni pour ce qui se passe dans ses locaux. Bon, par générosité, je le prrendrai peut-être à la bibliothèque
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Je ne vois vraiment pas en quoi emprunter un livre à la bibliothèque serait un acte de générosité, ça demande explication (surtout si de toute façon le propos ne vous intéresse pas).
[ce commentaire a été modéré, car il comportait des invectives qui n’ont pas leur place ici. Merci] -
Je ne vois vraiment pas en quoi emprunter un livre à la bibliothèque serait un acte de générosité, ça demande explication (surtout si de toute façon le propos ne vous intéresse pas).
[ce commentaire a été modéré, car il comportait des invectives qui n’ont pas leur place ici. Merci] -
au cas où vous ne le sauriez, l’emprunt de livres à la bibliothèque donne droit aux auteurs à des droits. c’est la seule générosité que je pourrai me permettre vis-à-vis de Monsieur Sapin, dont je peux avouer que les livres méritent d’ etre lus, mais que je n’ai pas besoin d’avoir en permanence dans ma collection privée. Comprendo?
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au cas où vous ne le sauriez, l’emprunt de livres à la bibliothèque donne droit aux auteurs à des droits. c’est la seule générosité que je pourrai me permettre vis-à-vis de Monsieur Sapin, dont je peux avouer que les livres méritent d’ etre lus, mais que je n’ai pas besoin d’avoir en permanence dans ma collection privée. Comprendo?
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Mr Pincemi, si vous faites références à la Sofia (et autres organismes collecteurs), vous n’avez rien compris au principe.
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Mr Pincemi, si vous faites références à la Sofia (et autres organismes collecteurs), vous n’avez rien compris au principe.
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En France, seul l’achat du livre par les bibliothèques génère des droits, reversés pour moitié aux auteurs (et pour moitié à l’éditeur). Qu’il soit ensuite emprunté une fois ou mille fois, ne change rien (contrairement au système anglais dans lequel chaque emprunt génère des droits).
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En France, seul l’achat du livre par les bibliothèques génère des droits, reversés pour moitié aux auteurs (et pour moitié à l’éditeur). Qu’il soit ensuite emprunté une fois ou mille fois, ne change rien (contrairement au système anglais dans lequel chaque emprunt génère des droits).
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C’est vraiment de la m… ce que fait M Sapin, s’il n’était le pote de Sfar, on en aurait jamais entendu parler.
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C’est vraiment de la m… ce que fait M Sapin, s’il n’était le pote de Sfar, on en aurait jamais entendu parler.
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C’est vraiment de la m… ce qu’écrit Victorien… s’il n’était pas Victorien, eh bien… euh… non, rien.
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C’est vraiment de la m… ce qu’écrit Victorien… s’il n’était pas Victorien, eh bien… euh… non, rien.
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