Formula Bula, les expos en photos
La première édition de Formula Bula, festival de bande dessinée et arts associés de Saint-Ouen, s’est déroulée le week-end dernier. Au programme, rencontres avec des auteurs, projections, ateliers, performances, spectacles… Et des expositions, dont certaines durent encore quelques jours, et sur lesquelles nous revenons en photos.
Sous la direction artistique du collectif Ferraille, Formula Bula a choisi de s’orienter vers le champ de la bande dessinée indépendante. Mais les expositions proposées dans différents lieux de Saint-Ouen n’ont pas démontré un élitisme stérile, plutôt une variété d’auteurs et de thèmes, propice à intéresser le plus grand nombre.
Originale, l’exposition d’un collectif d’auteurs boliviens sur les grilles du parc du Château de Saint-Ouen, sur le thème de l’émigration. Sportives, les planches du Football, football de Bouzard, accrochées dans les vestiaires du stade Bauer du Red Star. Poignants et sublimes, les planches et dessins originaux de Carlos Gimenez, pour Parcuellos et Barrio (réédités en intégrale par Fluide Glacial). Familiale, l’expo consacrée à Emile Bravo, à la médiathèque Persépolis. Un peu cheap, celle du travail de Boris Hurtel à l’Office de tourisme. Toujours fascinante, l’oeuvre de Jens Harder (Alpha), montrée à L’Atlas. Bizarres, le machines du « Paranorama » de Rémi vues à l’Espace 1789.
Les auteurs boliviens
Bouzard
Carlos Gimenez
Emile Bravo
Boris Hurtel
Jens Harder
Rémi
Au vu d’un programme si riche et varié, on a déjà hâte de voir de quoi sera faite la prochaine édition !
Photos © BoDoï
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Bonjour,
Hum… Je précise que c’est moi qui ai eu l’idée de mettre mes planches dans des sacs plastiques! Ferraille n’en est en rien responsable. En fait, j’avais déjà procédé ainsi lors de précédentes expositions. Je voulais montrer que mes BD appartenaient au monde du fanzine et créer un décalage avec les autres expos. Mais bon, la prochaine fois, je crois que j’utiliserai des cadres!
Bises
Boris -
Bonjour,
Hum… Je précise que c’est moi qui ai eu l’idée de mettre mes planches dans des sacs plastiques! Ferraille n’en est en rien responsable. En fait, j’avais déjà procédé ainsi lors de précédentes expositions. Je voulais montrer que mes BD appartenaient au monde du fanzine et créer un décalage avec les autres expos. Mais bon, la prochaine fois, je crois que j’utiliserai des cadres!
Bises
Boris
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