La Tête au triangle, une chronique dessinée #6
Chaque mois, notre rédactrice Mathilde Guegan prend ses crayons de dessinatrice pour nous parler de sa lecture très personnelle d’une bande dessinée piochée dans sa pile. Attirance pour une couverture, rapport au texte et au graphisme, émotions nées d’une ligne ou d’un mot, blocage sur certaines formes ou éblouissement sur d’autres… Les chroniques de son alter ego à tête triangulaire se veulent sobres et sans fard, tout en sensation.
Ce mois-ci, après s’être laissée envoûtée par Les Amours suspendues de Marion Fayolle, La Tête au triangle se jette dans la gueule du loup-garou, en s’attaquant au roman graphique dont tout le monde parle, qui a trusté les premières places des top BoDoï, qui est en lice à Angoulême et qui a décroché le Grand Prix de la critique ACBD : Moi ce que j’aime, c’est les monstres, de l’Américaine Emil Ferris.
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