Le Narval #2 **
Par Boris Beuzelin et Olivier Supiot. Treize étrange, 9,90 €, octobre 2010.
Robert Narval est plongeur. Pas au fond d’un resto à récurer les marmites, non, plongeur-spéléologue émérite, au service du plus offrant. Pour trouver des trésors, sauver des vies, etc. Mais ses contrats le mènent trop souvent en eaux troubles, face à des mafieux, voleurs, criminels recherchés, bref, une faune bien différente de celle fréquentée par le commandant Cousteau.
L’idée d’un personnage audacieux, aux compétences bien particulières, prompt à oeuvrer tout autour du globe, et qui ne soit ni journaliste, ni policier, ni justicier, est franchement bonne. En faire un type beau gosse mais bourru, un peu tête à claques et porté sur la bibine, en est une autre. Mais ce qui frustre le lecteur, c’est le découpage de cette série, en histoires différentes d’une dizaine de pages qui, si elles sont parfaitement orchestrées, sont trop courtes pour qu’on se laisse totalement embarquer. Néanmoins, Olivier Supiot réussit à creuser un peu le passé de son héros, par petites touches et avec une verve très roman noir. On lit donc ce deuxième volume avec un certain plaisir, notamment grâce au trait bigrement efficace de Boris Beuzelin. Et on se plaît à rêver à une aventure longue et développée de ce héros malgré lui, car on commence à s’attacher…
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Voilà des gars qui ont lu Commando Colonial et qui se sont dit « peuh! moi aussi je peux le faire! »
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Voilà des gars qui ont lu Commando Colonial et qui se sont dit « peuh! moi aussi je peux le faire! »
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Voilà encore un ou une qui se paluche derrière son clavier en flinguant par plaisir sous couvert d’anonymat.
Évidement si Robby avait lu le Narval il se serait peut-être aperçu que la série n’a rien à voir, (ni sur la forme ni dans les thèmes abordés) avec le Commando, excellent au demeurant.
Mais c’est vrai qu’une petite saloperie laissée en passant ,entre la poire et le fromage, ça mange pas de pain et c’est tellement l’extase. Il faudrait que j’essaie… tiens, c’est vrai que c’est facile, et quelle éclate !
Moi aussi je peux le faire ! -
Voilà encore un ou une qui se paluche derrière son clavier en flinguant par plaisir sous couvert d’anonymat.
Évidement si Robby avait lu le Narval il se serait peut-être aperçu que la série n’a rien à voir, (ni sur la forme ni dans les thèmes abordés) avec le Commando, excellent au demeurant.
Mais c’est vrai qu’une petite saloperie laissée en passant ,entre la poire et le fromage, ça mange pas de pain et c’est tellement l’extase. Il faudrait que j’essaie… tiens, c’est vrai que c’est facile, et quelle éclate !
Moi aussi je peux le faire ! -
Ca me fait toujours marrer de voir des auteurs s’énerver quand on débusque leurs influences (pourtant évidente ici), ce n’est pas sale et Brüno est une bonne influence, il faudrait juste qu’il ne fasse pas trop école enfin que son style très personnel ne soit pas galvaudé comme avec Sfar ou Blain.
Ca doit être une sensation désagréable pour un auteur de voir son style, ses trucs et astuces graphiques personnels repris par d’autres, un auteur m’avait parlé de sensation de viol (toute proportions gardées).
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Ca me fait toujours marrer de voir des auteurs s’énerver quand on débusque leurs influences (pourtant évidente ici), ce n’est pas sale et Brüno est une bonne influence, il faudrait juste qu’il ne fasse pas trop école enfin que son style très personnel ne soit pas galvaudé comme avec Sfar ou Blain.
Ca doit être une sensation désagréable pour un auteur de voir son style, ses trucs et astuces graphiques personnels repris par d’autres, un auteur m’avait parlé de sensation de viol (toute proportions gardées).
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Je savais que le missile me reviendrait dans la tronche.
Donc selon monsieur Jean-François je pomperais allègrement les trucs et astuces d’un confrère, ce qu’il n’hésite pas à assimiler à un viol. Comment osez-vous écrire des choses pareilles?
Il ne faut pas s’étonner quand de temps en temps un auteur sort de sa réserve face à des propos blessants et diffamants à son égard. Et je ne parle pas ici de critique argumentée et constructive.
La critique, bonne ou mauvaise, nous y sommes confrontés en permanence, ça fait partie du jeu et tous les auteurs acceptent cela.
Bref, le temps du duel étant révolu, je ne demanderais donc pas réparation à l’aube dans les douves du château.
Vous voulez connaitre mes influences ? Allez donc voir du côté des américains et de monsieur Tillieux. Et passez donc un peu plus de temps à lire les bouquins plutôt qu’a descendre leurs auteurs les yeux fermés. -
Je savais que le missile me reviendrait dans la tronche.
Donc selon monsieur Jean-François je pomperais allègrement les trucs et astuces d’un confrère, ce qu’il n’hésite pas à assimiler à un viol. Comment osez-vous écrire des choses pareilles?
Il ne faut pas s’étonner quand de temps en temps un auteur sort de sa réserve face à des propos blessants et diffamants à son égard. Et je ne parle pas ici de critique argumentée et constructive.
La critique, bonne ou mauvaise, nous y sommes confrontés en permanence, ça fait partie du jeu et tous les auteurs acceptent cela.
Bref, le temps du duel étant révolu, je ne demanderais donc pas réparation à l’aube dans les douves du château.
Vous voulez connaitre mes influences ? Allez donc voir du côté des américains et de monsieur Tillieux. Et passez donc un peu plus de temps à lire les bouquins plutôt qu’a descendre leurs auteurs les yeux fermés. -
Uhuhu! il y a des dessinateurs qui devraient arrêter d’allez donc voir du côté des américains et de monsieur Tillieux et passer un peu plus de temps à dessiner leurs bouquins les yeux ouverts plutôt qu’à répondre aux critiques sur les forums.
(c’est vrai que ça ressemble vachement à du Brüno, je m’étais fait la même réflexion en feuilletant le livre en magasin, mais je suppose que c’est voulu, Boris Beuzelin étant capable de plusieurs styles différents, j’avais bien aimé la Nuit des chats (bottés?) chez encrage Casterman)
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Uhuhu! il y a des dessinateurs qui devraient arrêter d’allez donc voir du côté des américains et de monsieur Tillieux et passer un peu plus de temps à dessiner leurs bouquins les yeux ouverts plutôt qu’à répondre aux critiques sur les forums.
(c’est vrai que ça ressemble vachement à du Brüno, je m’étais fait la même réflexion en feuilletant le livre en magasin, mais je suppose que c’est voulu, Boris Beuzelin étant capable de plusieurs styles différents, j’avais bien aimé la Nuit des chats (bottés?) chez encrage Casterman)
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