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« Le Singe de Hartlepool », Prix de la bande dessinée historique 2013

20 septembre 2013 |

Le Singe de Hartlepool remporte le Prix Château de Cheverny de la bande dessinée historique 2013, qui sera remis lors des Rendez-vous de l’histoire de Blois.

singe_bd_historiqueCe one-shot écrit par Wilfrid Lupano et dessiné par Jérémie Moreau succède au palmarès à La Mort de Staline de Fabien Nury et Thierry Robin (et avant lui Murena, Une vie chinoise, Les Invisibles, Fritz Haber…). « Ce prix récompense (…) les auteurs d’une bande dessinée dont la qualité du scénario, la valeur du dessin ainsi que le sérieux de la reconstitution historique auront été appréciés », précise le site de l’événement. Une nouvelle jolie récompense pour ce très bon livre, après le Prix des libraires de bande dessinée conquis au printemps.

Publié par Delcourt dans la collection Mirages, Le Singe de Hartlepool s’inspire d’une histoire vraie : pendant les guerres napoléoniennes, un navire s’échoue la côte anglaise, à proximité d’un petit village de pêcheurs. Seul survivant: un singe, affublé d’un uniforme français. Vu comme un soldat ennemi, il sera jugé et pendu par une foule ivre de bêtise et de peur de l’autre.

Pour en savoir plus sur cet excellent album sur les dangers de l’ignorance, toujours d’actualité, relisez notre critique et l’interview que nous avait accordé Wilfrid Lupano.

Commentaires

  1. Richard

    Pas tellement mérité ce prix. Le dessin informatique singeant l’encrage à la plume (et le dessin) de Ronald Searle et Ralph Steadman, des personnages qu’on n’arrive pas toujours à différencier (surtout les enfants), des abbérations (pas rare d’y trouver des personnages à 6 doigts sur une main, comme à la page 37), des bulles et un lettrage informatique mal intégrés. Les plus: une belle couv ( très Steadman style néanmoins) et un scénario intéressant (bien que le twist final sur le nom du petit Charles soit très convenu). Bref un premier album pas mal, mais qui ne mérite pas un tel emballement.

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