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Marshmalone **

15 septembre 2010 |

pasmalmarshmalone_couvPar Lolita Séchan. Hélium, 10,90 €, septembre 2010.

Avoir 25 ans et assumer être toujours une grande adolescente, ça n’aide pas quand son gentil papa téléphone pour dire qu’on va avoir un demi-frère… C’est cette crainte, cette attente, cette découverte et finalement cette nouvelle complicité, que brosse par petites touches affectueuses Lolita Séchan dans son troisième livre (après Todo loco), tiré des dessins de son blog.

Comme souvent les compilations de notes de blog, ce volume se développe en courts chapitres, instantanés de souvenirs, d’états d’âmes, d’anecdotes du quotidien. Avec pour figure centrale le nouveau venu, prénommé Malone par ses parents, et vite (et logiquement) surnommé Marshmalone par sa grande soeur en panique. marshmalone_imageCelle-ci se dessine – comme tous les autres protagonistes d’ailleurs – dans un costume curieux, une sorte d’habit de lapin ou de chat, tout blanc avec des oreilles qui pendent. Telle une armure de peluche contre le temps qui passe, une carapace douillette qui empêche de grandir. Car la confrontation avec un nouveau-né est pour Lolita Séchan (au prénom révélateur) l’occasion de regarder en face sa peur de devenir une femme et de quitter l’enfance à jamais. Souvent drôle, juste et touchant, son livre nimbé de rose barbe-à-papa possède un charme certain, mais connaît les mêmes limites que la plupart des recueils de blog : si la succession de mini-histoires fonctionne au quotidien sur le web, leur lecture continue leur fait perdre de l’intérêt. On dégustera donc ce doux et sucré Marshmalone par petites bouchées, et on ira vite s’abonner au blog en question.

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Commentaires

  1. Geller

    Quand on ne sait pas dessiner et qu’on a rien à raconter, on a tout intérêt d’être une fille à papa pour être publié.

  2. Geller

    Quand on ne sait pas dessiner et qu’on a rien à raconter, on a tout intérêt d’être une fille à papa pour être publié.

  3. Je ne pense pas que lolita n’ait rien à raconter. c’est juste que tu n’as peut être pas d’affinités avec son univers et les histoires qu’elle raconte. Je trouve ton commentaire un peu dur envers elle.

  4. Je ne pense pas que lolita n’ait rien à raconter. c’est juste que tu n’as peut être pas d’affinités avec son univers et les histoires qu’elle raconte. Je trouve ton commentaire un peu dur envers elle.

  5. Naomi

    Geller,
    Certaines personnes sont dotées d’une tendresse et d’une sensibilité profondes, pures et sincères. Ces personnes sont authentiques. Contrairement à toi, je pense que Lolita Séchan en fait partie, tout comme ceux qui savent apprécier son oeuvre. Ton commentaire est simplement dégueulasse, déplacé et stupide. Certes, porter ce nom l’a probablement aidé. Cependant, je te rappelle qu’elle a présenté son oeuvre au Québec, où son père n’est pas connu.
    D’autre part, prétendre qu’elle ne sait pas dessiner est aberrant : souvent, la simplicité est beaucoup plus touchante que les crétins qui veulent se donner un genre en formant une belle phrase tout en faisant des fautes d’orthographes (oui, « publiée » prend un « e » car Lolita Séchan est une fille. Souviens-toi, on accorde le participe passé avec l’auxiliaire être). De plus, soutenir qu’elle n’a rien à raconter confirme ta carence de perspicacité : en effet, si elle n’avait vraiment rien eu à écrire, il n’y aurait pas eu de livre. En outre, l’histoire que narre Lolita Séchan ne te concerne visiblement pas. Toutefois, je te rappelle que tu ne vis pas seul et que ce récit peut toucher certaines personnes qui ont vécu la même expérience qu’elle.
    Sur ce, mes salutations distinguées !

  6. Naomi

    Geller,
    Certaines personnes sont dotées d’une tendresse et d’une sensibilité profondes, pures et sincères. Ces personnes sont authentiques. Contrairement à toi, je pense que Lolita Séchan en fait partie, tout comme ceux qui savent apprécier son oeuvre. Ton commentaire est simplement dégueulasse, déplacé et stupide. Certes, porter ce nom l’a probablement aidé. Cependant, je te rappelle qu’elle a présenté son oeuvre au Québec, où son père n’est pas connu.
    D’autre part, prétendre qu’elle ne sait pas dessiner est aberrant : souvent, la simplicité est beaucoup plus touchante que les crétins qui veulent se donner un genre en formant une belle phrase tout en faisant des fautes d’orthographes (oui, « publiée » prend un « e » car Lolita Séchan est une fille. Souviens-toi, on accorde le participe passé avec l’auxiliaire être). De plus, soutenir qu’elle n’a rien à raconter confirme ta carence de perspicacité : en effet, si elle n’avait vraiment rien eu à écrire, il n’y aurait pas eu de livre. En outre, l’histoire que narre Lolita Séchan ne te concerne visiblement pas. Toutefois, je te rappelle que tu ne vis pas seul et que ce récit peut toucher certaines personnes qui ont vécu la même expérience qu’elle.
    Sur ce, mes salutations distinguées !

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