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Quino
« Pour l’humour de l’art »
Le père de Mafalda s’attaque aux arts nobles (musique, littérature, peinture et sculpture), terminant tout de même par l’activité de l’humoriste… Avec un réjouissant sens de l’absurde, il croque un homme des cavernes qui peint des mammouths, taxé de « gros inutile » par sa chère et tendre. Ou bien un chef d’orchestre en bigoudis, demandant à ses musiciens une précision d’exécution « au cheveu près ». Bien que moins drôle qu’un Sempé sur le même thème, son humour fait tout de même mouche. (Pour l’humour de l’art, par Quino, Glénat, rééd. 12 euros)
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