Rien n’arrête « La Revue dessinée » !
Lancée voilà quatre ans déjà, La Revue dessinée a su imposer son modèle de périodique de documentaires en BD, et ne s’est pas reposée sur ses lauriers. Pour preuve les projets qui vont se déployer dans les prochains mois.
Tout d’abord, il y a ce 17e numéro qui arrive cet automne, avec une nouvelle formule et une maquette repensée. « Nous avons dépoussiéré l’habillage pour gagner en lisibilité », explique dans le dossier de presse Sylvain Ricard, cofondateur et corédacteur en chef. « Le gros défi pour cette nouvelle maquette, c’est de parvenir à « casser » le rythme de lecture, complète l’autre réd’ chef, Franck Bourgeron. Avec des reportage de 30 à 50 pages, on peut facilement embarquer le lecteur dans ce qu’on appelle des « tunnels ». Entre ces sujets au long cours, il faut des respirations… De nouveaux rendez-vous fixes, des chroniques, apportent des moments plus légers, parfois drôles ! »
Outre ce lifting annoncé, et la poursuite de l’excellente Topo, la revue de BD reportages à destination d’un public plus jeune, La Revue dessinée lance une collection, en coédition avec La Découverte, baptisée « Histoire dessinée de la France ». L’ambition : 20 albums, chacun sur une période donnée et conçu par un duo historien-dessinateur. Premiers sujets : quand commence l’histoire de France?, par Etienne Davodeau et Sylvain Venayre, puis les Gaulois par Nicoby et l’archéologue Jean-Louis Brunaux.
Et ce n’est pas tout. « À partir de 2018-2019, nous publierons également, en partenariat avec les éditions Delcourt, près de dix albums par an« , reprend Franck Bourgeron. Des BD inédites, soit historiques, soit d’enquêtes, soit plus largement sur « les grandes mutations de nos société ». L’avenir sourit aux audacieux, dit-on. La Revue dessinée semble bien confirmer l’adage.
-
Bonjour ,
proposez-vous un abonnement à la Revue dessinèe au format numérique ?
Si oui, quelles en sont les modalités ?Cordialement
Commentaires