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VILLE RANTA
NUMÉRO PÈRE
Ville Ranta a attrapé le baby blues. Concilier le diabète de sa fille avec une carrière artistique, un petit budget, les travaux domestiques et la gestion d’une petite maison d’édition rend dépressif le dessinateur finlandais (Célébritiz, avec Trondheim). Dans un journal intime, il consigne son ressentiment, sa fatigue et ses angoisses d’un trait cru et fragile. La fibre artistique est-elle compatible avec la fibre paternelle ? (Papa est un peu fatigué, de Ville Ranta, ça et là, 15 euros).
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