Le Diable des sept mers #2 °
Par Hermann et Yves H. Dupuis, 14,50 €, le 23 janvier 2009.
Suite et fin de l’incroyable chasse au trésor entreprise par Conrad, jeune homme blond et intrépide, dans Le Diable des sept mers. « Comment est-ce possible ? » s’étrangleront les lecteurs attentifs se souvenant que Conrad est mort, avec ses compagnons, à la fin de la première partie. C’est que cette très riche aventure de pirates se double d’une histoire de zombies ! Revenus d’entre les morts, les brigands des mers assassinés reprennent vie pour trouver l’or tant convoité.
Alors que la saga cinématographique Pirates des Caraïbes unissait brillamment piraterie et fantastique, ce Diable des sept mers échoue à marier les deux univers. Sans doute parce que le classicisme du dessin et de la narration – dépourvue d’humour – empêchent de goûter à l’ironie d’un tel mélange des genres. Ni inquiétants ni amusants, les pirates-zombies nous laissent froids comme la mort ou, pire, prêtent à rire. Notamment dans cette scène finale grandiloquente où l’armée anglaise, les pirates, les zombies et des cannibales s’affrontent sur une île volcanique au bord de l’éruption ! Comme pendant les fêtes de fin d’année, on sature devant une telle abondance. Perdu dans la flopée de personnages et d’intrigues, le lecteur s’accroche à sa seule planche de salut : l’impeccable trait et les superbes couleurs d’Hermann.
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Archi-nul !!!!
Un tissu d’invraisemblances et d’incohérences scénaristiques, doublé d’une absence totale d’humour, comme il dit dans l’article. Il y a même des contre sens dans certains dialogues. La palme revient à cette tirade prononcée avec sérieux par l’iguane et qui restera dans les annales : « Et retenez une chose : tant qu’il n’est pas mort, l’iguane est toujours vivant. ». -
Archi-nul !!!!
Un tissu d’invraisemblances et d’incohérences scénaristiques, doublé d’une absence totale d’humour, comme il dit dans l’article. Il y a même des contre sens dans certains dialogues. La palme revient à cette tirade prononcée avec sérieux par l’iguane et qui restera dans les annales : « Et retenez une chose : tant qu’il n’est pas mort, l’iguane est toujours vivant. ». -
J’ai achaté les 2 albums du diable des 7 mers les yeux fermés, en faisant confiance à Herman, auteur de nombreux albums trés réussis tant pour le dessin que pour les scénarios (jeremiah, on a tue wild bill etc..).
j’ai ete tres decu, je n’ai meme pas fini la lecture du deuxieme album, et j’ai meme songé au classement vertical (poubelle).
Le talent n’est malheureusement pas heriditaire, je n’acheterais plus jamais de BD sur laquelle aura collabore Yves H.et je suis surpris qu’Hermann (le pere) est laisse paraitre un travail aussi lamentable. -
J’ai achaté les 2 albums du diable des 7 mers les yeux fermés, en faisant confiance à Herman, auteur de nombreux albums trés réussis tant pour le dessin que pour les scénarios (jeremiah, on a tue wild bill etc..).
j’ai ete tres decu, je n’ai meme pas fini la lecture du deuxieme album, et j’ai meme songé au classement vertical (poubelle).
Le talent n’est malheureusement pas heriditaire, je n’acheterais plus jamais de BD sur laquelle aura collabore Yves H.et je suis surpris qu’Hermann (le pere) est laisse paraitre un travail aussi lamentable.
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