La première rencontre avec votre maître en BD…
J’ai eu la chance d’en rencontrer beaucoup ! Le premier a été Derib. Puis il y a eu René Hausmann, qui m’avait appelé « collègue »… Ce genre de choses vous marque !
La première fois que vous avez bondi (de joie ou de rage) face aux ventes de vos albums…
Quand j’ai appris que j’aurais droit à un tome deux…
Le premier prix qui vous a transporté de joie…
J’avais reçu la Sonaille d’Or au festival de Sierre. C’est une grosse cloche de vache qui fait beaucoup de bruit dès qu’on la déplace. Je pense que tout l’hôtel a été au courant.
La première histoire dont vous avez été particulièrement fier…
Je suis fier de toutes, au moment où je les dessine.
La première histoire que vous auriez préféré ne pas publier…
J’assume tout.
La première adaptation en statuette…
Catherine Mauron, qui avait beaucoup travaillé avec Franquin sur Les Tifous, en avait fait une en résine et m’avait donné le moule. J’ai fait quatre ou cinq tirages que j’ai peints moi-même chez mon copain Buche parce qu’il avait un aérographe. Il doit en rester une chez Jean-Claude Camano, une chez moi que ma femme de ménage n’a pas cassée et une grosse tache de rose peau sur la moquette de Buche…
La première adaptation en dessin animé ou film…
Glénat avait fait réaliser un petit dessin animé de vingt secondes pour la promo du 4e album de Titeuf. C’était projeté dans les salles Gaumont, je crois. Et le commentaire off était fait par Ariel Wizman.
La première personne qui vous a fait confiance…
Jean-Charles Habreu, rédacteur en chef de Femmes d’Aujourdhui (en fait, ce sont surtout celles d’hier…), qui m’a confié une page hebdomadaire pendant dix-huit mois.
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